lundi 26 décembre 2011

Un lapin à Noël

Ca aurait pu être un lapin dans l'assiette., genre lapin chasseur, en civet ou à la moutarde. Non, mais il y a quand même un rapport avec l'assiette.

A Noël on a l'habitude d'inviter à déjeuner une ou deux personnes qui risque de se trouver seule ce jour-là. Donc cette année, trouvé, on a notre invité.

Préparatifs habituels : menu, répartition des tâches en fonction de nos compétences, de nos goûts et de nos talents. 
Tout est prêt le jour J à l'heure H. 
L'invité se fait un peu attendre. Alors l'une commence à feuilleter une revue, l'autre arrange encore les dernières bricoles et la troisième allume la télé, histoire de s'occuper.

Et toujours point de Paul... On risque un coup de téléphone chez lui... puis un autre chez la voisine... Paul n'est pas chez lui... Paul est injoignable. Comme quoi, on a beau dire, c'est quand même pratique parfois des portables, s'il en avait eu un on aurait su tout de suite qu'on pouvait faire notre festin toutes seules !

Faute de réponse on s'est quand même mises à table pour un repas de fête sans invité, avec quelques inquiétudes quand même et plein de questions ? Il a oublié ? Il n'a pas trouvé la maison ? Il a eu un accident, un malaise en route ?... Au point où on en est, on ne peut rien faire de plus, on verra demain...

Et ce matin j'appelle Paul avec toujours une pointe d'inquiétude. Bah ! c'était vraiment pas la peine de s'inquiéter et de se pourrir le repas de Noël !...Voilà mon Paul qui s'excuse du bout des lèvres sans se départir de son habituelle jovialité : il était chez ses neveux ! Et il a passé une très bonne journée ! 

En fait, il a fait une joyeuse salade avec les coups de fil et les invitations qu'il a reçus.
"Ah c'est de ma faute, excuse-moi, j'ai fait des confusions. J'ai fait une grosse bêtise. J'ai totalement confondu avec une autre. C'est marrant, tu vois comme le monde est bizarre, la jeune qui nous a emmenés à La Roche l'autre jour, elle habite aussi dans ton coin..." 
Je ne voyais pas le rapport entre ça et notre invitation, mais tant pis. Et surtout, pour moi ce n'était pas vraiment marrant. Mais bon, accordons-lui l'excuse de l'âge.

Et, cerise sur la gâteau, entre quelques plates excuses sur son ton toujours aussi jovial, il me dit : Mais on peut remettre ça ! Et il était prêt à fixer le jour et l'heure ! 

Ben voyons, Paul, tu seras toujours le bienvenu quand tu ne te mélangeras pas les pinceaux dans tes invitations.





vendredi 23 décembre 2011

Les crèches de Marie-France

Marie-France a deux amours passions : les voyages et les crèches. Et quand on conjugue les deux ça fait pas mal. Elle collectionne les santons, ou plutôt les Sainte Famille. Comme d'autres collectionnent des poupées, des petites cuillers, des mignonnettes, ou autres souvenirs.

Alors quand elle fait des voyages à l'étranger elle aime bien rapporter des santons typiques de chaque pays. Elle fouine dans les magasins-de-souvenirs-brocantes-marchés-aux-puces à l'affût des Sainte Famille. Pas forcément toute la petite famille dans la même boutique, mais elle finit toujours par trouver des couples qui vont bien ensemble. S'il le faut elle les  achète en pièces détachées : Marie, Joseph et Petit Jésus. Et après elle (re)compose la famille.  Et ça fait de jolies crèches. Quand arrive l'Avent, quelquefois même un peu avant parce que l'Avent c'est parfois un peu court, elle aime les sortir et les disposer sur le manteau de la cheminée de son salon.

Ses amis connaissent aussi sa passion, et c'est le cadeau-souvenir incontournable. Ainsi la collection de mini crèches s'étoffe au fil des ans et des voyages : Pérou, Burkina Faso, Mexique, Haïti, Murano, Maroc, Philippines, Japon, Ouzbékistan. Et la toute petite dernière, qui vient juste d'arriver de Birmanie.

C'est aussi toute la famille qui s'y met pour honorer la passion de Maman, de Mamie... Et puis comme elle aime que ce soit beau, parfois elle leur confectionne des habits à sa façon mode du pays.

Voilà, comme elle dit : Jésus est bien venu pour tous les hommes, non ?

Une fois, c'était un peu plus difficile. En pays musulman il n'y a pas forcément de crèche, même pour les touristes. Alors là elle a vraiment dû composer. Elle a bien trouvé une femme et un bébé qui pouvaient représenter Marie et Jésus, ça allait encore, mais de Joseph... point.  Elle a fini par dénicher un santon masculin, qui pourrait faire l'affaire, même si ça fait un peu anachronique : il a un portable scotché à l'oreille. Mais comme elle n'a rien trouvé de mieux, elle l'a pris quand même et quand elle fait sa crèche elle le tourne un peu pour qu'on ne voie pas le téléphone. Alors je lui ai un peu arrangé, et maintenant ça lui  fait une crèche très branchée !

Et joyeux Noël à tous !

mardi 20 décembre 2011

Mon beau sapin


Quelle profusion de billets, vidéos, diaporamas, mails pour finir de nous préparer à Noël et déjà nous souhaiter un Joyeux Noël ! C'est à qui enverra le plus beau. Ça fait partie des préparatifs et c'est bien sympathique.

Voici, parmi plein d'autres, deux vidéos tirées du panier : des idées originales, courageuses aussi...

► Les jeunes de la Mission Etudiante de La Roche sur Yon (c'est comme ça qu'on dit maintenant pour dire Aumônerie des Etudiants). Dimanche après midi, dernier dimanche avant Noël, ils sont allés dans un centre commercial et ont régalé les badauds de leurs chants de Noël




► Une histoire de Noël racontée par 30 enfants de 2 à 12 ans.



Et aussi, dans un autre domaine, Père Noël ou St Nicolas ? Calendrier de l'Avent, couronne de l'Avent, arbre de Noël, crèche... Un peu pêle-mêle des symboles de Noël. Païens ? Chrétiens ? Mon petit livre-de-messe-de-poche-passe-partout (vous voyez de quoi je veux parler) fait une présentation de ces différents symboles de Noël, avec explication de leur origine et de leur signification pour nous aujourd'hui encore. (Il y a croire.com qui le fait aussi). Remontée dans l'histoire, parfois loin, dans les us et coutumes transmis de génération en génération. Mais aussi parfois relativement récent, pas toujours très religieux au départ, commercial même.

C'est ainsi qu'au fil des pages de décembre le Père Jacques Nieuviarts nous fait (re)découvrir ces coutumes et symboles liés au temps de Noël :
  • le Père Noël, et son ancêtre St Nicolas protecteur des enfants et patron des écoliers
  • le calendrier de l'Avent : pour faire patienter les enfants en attendant Noël on leur donnait chaque jour une image et une pensée (ou une parole d’Évangile). La formule a évolué pour devenir notre calendrier de l'Avent
  • la couronne de l'Avent, avec ses bougies qu'on allume progressivement : signe de la lumière de Noël qui approche
  • les décors et les couleurs : le vert, couleur du pin qui reste toujours vert, symbole de la vie. Le houx, dans la tradition chrétienne, rappelle la couronne du Christ. Le gui symbolise la paix et le bonheur.
  • l'arbre de Noël : évocation de l'arbre du jardin d’Éden et le Christ venu nous racheter, arbre décoré et lumineux, rappelant que le Christ est "la lumière qui brille dans les ténèbres"
  • les chants de Noël : sans lesquels ce ne serait pas Noël !
  • la crèche : "inventée" par St François d'Assise
  • l'Épiphanie et la galette des rois : à travers les rois c'est le chemin de l'humanité qui se poursuit en marche à l'étoile. Et la galette que l'on partage à l'occasion de la "manifestation" de Dieu aux hommes et que l'on partage en autant de portions qu'il y a de convives plus une, la part du pauvre ou part du Bon Dieu.
Bien sûr il faudrait relire tout cela dans l'original, et en entier... c'est juste pour en donner un avant goût...

Alors, bonne fin d'Avent... plus que quatre jours !...

Et je vous laisse sur un petit air de nostalgie...


TINO ROSSI "Mon beau sapin" (Version Originale)

(et les paroles, c'est là, et même en allemand : O Tannenbaum)

mardi 13 décembre 2011

Vous êtes plutôt oui-non ou non-oui ?

C'est l'histoire du type qui avait deux fils... non, pas celui qui réclame ses sous pour aller faire la fête et son frère jaloux... mais celui qui dit oui puis non et l'autre qui dit non puis oui. Aujourd'hui c'est ce que la liturgie nous donne à lire.

J'ai un penchant pour celui qui dit non-oui... je ne sais pas pourquoi...

Rappel de l'histoire, si vous ne voulez pas lire le texte. Jésus s'adresse à son entourage et comme souvent pose une question. Un père demande un service à ses fils. Le premier refuse, puis s'étant repenti, il rend ce service. Le second, c'est le contraire, il dit : oui, oui, j'y vais... mais ne fait rien. Devinette de Jésus : lequel a fait la volonté du père ? Facile la réponse ! Et puis après tout ce qui compte c'est que le boulot soit fait.

Celui qui commence par dire non à ce qu'on lui demande, il refuse. Évident ! Pas si sûr qu'il refuse vraiment ! Ce n'est peut-être pas définitif. Il pose les marques, il délimite son terrain, il se donne le temps de réfléchir, le droit de changer d'avis... Un peu une façon de ne pas avoir le nez dans le guidon. C'est malin de dire oui, de s'engager, et après de revenir sur sa parole. Et on peut avoir plein de raisons valables de ne pas pouvoir tenir. Déception assurée pour celui qui a demandé. Et on passe pour un homme (une femme) qui n'a pas de parole. Tiens, au fait, c'est drôle dans l'autre sens on ne dira pas qu'il ne tient pas sa parole.

Celui qui commence par dire non c'est un peu comme celui qui s’assoit avant de construire sa maison et qui évalue ce qu'il peut faire. Sagesse... prudence... C'est aussi une façon de ne pas se laisser bouffer happer par toutes sortes de sollicitations, même très louables. On pourrait aussi dire, plus honnêtement, je vais réfléchir. Mais on se met quand même la pression. Et puis au bout du compte il peut se faire que ce soit sans retour, et c'est non-non. C'est nécessaire de temps en temps de dire non pour de bon.

Non-oui, après tout, c'est très libérant ! Mais faut pas en abuser quand même...

Et puis maintenant, je comprends mieux la fin du texte d'aujourd'hui, ou plutôt le rapport entre la première partie et la seconde. L'histoire des deux fils, non-oui-oui-non,  et les publicains et les prostituées qui seront les premiers. Alors ? oui-non ? non-oui ?

jeudi 8 décembre 2011

Passage

Branle-bas de combat ce matin, au moins autant dans les cœurs, même si ça ne se voit pas, que dans nos maisons où c'est plus perceptible.

8 décembre, fête de l'Immaculée Conception. Pour nous c'est aussi... surtout... la célébration de fusion de la Congrégation des Sœurs de l'Union Chrétienne avec celle des Sœurs des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie. Comme un aboutissement.

Il y a quelques semaines je parlais de cette décision, de ce chemin commencé depuis si longtemps et qui aboutit.

Le jour J est arrivé comme une échéance qu'on attend et qu'on redoute à la fois.
Qu'on attend parce qu'il y a si longtemps qu'on s'y prépare, parce que la décision est prise, ratifiée par l'autorité, signée, parce que chacune aussi s'est prononcée personnellement, officiellement.
Qu'on redoute parce qu'on sait déjà que ça va changer pas mal de choses. Pas forcément très visibles... mais ça va nous bousculer.
Qu'on attend parce qu'on sait que ça va arriver, que ça doit arriver, et qu'il est temps que ça arrive.
Ce n'est pas la peine de traîner, d'entretenir une morbide pensée impossible que ça peut encore changer, que ça peut attendre, qu'on ne verra pas ça...

Cette étape c'est comme un engagement qui libère, justement parce qu'il devient irréversible.

Cinq mois déjà que la décision a été prise, et c'est aujourd'hui qu'est célébrée officiellement la fusion. Parce que ça ne se fait pas en catimini. D'abord c'est un événement d'Eglise, et ensuite on veut y associer nos amis et familles, ceux, si nombreux, qui nous ont aidées et soutenues sur notre route, les fontenaisiens partenaires de nos joies et de nos peines, de notre mission depuis plus de 300 ans. Ce caractère public et officiel enracine l'événement dans l'histoire et ouvre une voie nouvelle.

C'est aujourd'hui que cette fusion est signifiée publiquement, parce qu'on a besoin de signes et de rites pour vivre les grands événements, pour aider à faire le passage. Ca sert à ça les rites : aider à faire des passages, signifier l'invisible, exprimer l'inexprimable.

Que cela coïncide avec une fête mariale me plaît bien. Que les lectures de la messe soient celles de l'Immaculée Conception et en particulier l'évangile de l'Annonciation me plaît bien aussi. D'ailleurs l'image symbolique de la journée est un tableau de l'Annonciation : Marie dit alors : Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole.

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22 h 30. Une très belle journée s’achève. Action de grâce pour la densité et la profondeur du vécu. Une de ces journées uniques qu'on ne vit qu'une fois dans une vie.

Voilà, c'est fait. Le passage s'est fait, au cours d'une magnifique célébration, grave et paisible, chargée d'émotion. Une célébration où on a pris le temps d'expliquer notre démarche, le cheminement de chaque Congrégation et des Sœurs. Une célébration vivante, toute imprégnée d'espérance, dense de contenu, de prière, d'action de grâce, de silence...

Beaucoup, beaucoup d'amis pour nous entourer et nous accompagner, prêtres, religieux, religieuses, laïcs. Merci à tous ceux qui sont venus cet après-midi, ceux qui ont apporté leur part dans la préparation et la réalisation de ce temps. Merci à ceux qui n'ont pu venir mais qui étaient présents par la pensée et la prière.

On a changé de nom, de Règle de vie, d'insigne, de gouvernement, de responsables... On a été accueillies délicatement et fraternellement dans une autre famille, désormais notre famille religieuse.

Le temps fort, le plus significatif et le plus émouvant, était le moment où nous avons renouvelé nos vœux puis reçu la Règle de Vie des Sœurs des Sacrés-Cœurs.
Les vœux, ces mêmes vœux que nous avions prononcés il y a 10, 20, 70 ans, et que nous nous engageons à vivre désormais dans une autre Congrégation, avec d'autres Soeurs.
... Je renouvelle les vœux que j'ai faits de suivre le Christ,
dans l'obéissance, la pauvreté et la chasteté.
Je choisis de les vivre désormais dans la Congrégation
et selon la Règle de Vie des Sœurs des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie...
Et ensuite, la remise à chacune, par la Supérieure générale, de notre nouvelle Règle de Vie et de l'insigne de la Congrégation. Geste accompagné d'une accolade fraternelle pour chacune.
Cette Règle de vie est le chemin qui nous est offert pour suivre le Christ, dans le sillage de notre Fondateur, et que nous choisissons pour vivre la grâce de notre Baptême, au service de l’Église, en tant que Sœurs des Sacrés-Cœurs.
L'insigne de la Congrégation marquera votre appartenance à notre famille religieuse, consacrée au Cœur de Jésus et au Cœur de Marie.

Moment profond, dense et émouvant de la célébration, qui scelle nos engagements réciproques : chacune de nous s'engage, de même que s'engage aussi la Congrégation qui nous accueille.
Mise en commun de nos histoires, de nos héritages, de nos richesses et de nos fragilités au service de l’Église là où la mission nous envoie.

Le passage est fait...
Ce soir j'ai posé devant moi,  côte à côte, mes deux petites croix. Elles ont plein de choses à me dire, d'histoire, de souvenirs, de fidélités et d’infidélités, de joies et de souffrances... d'espérance et d'avenir.

Demain, je prendrai la nouvelle, celle que j'ai reçue cet après midi...
pour reprendre la route...
pour continuer la route...


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Début de la célébration (Extrait de la vidéo réalisée par le service Communication du Diocèse de Luçon)



Célébration - Fontenay le Comte, le 8 décembre... par infocatho85


Homélie de Monseigneur Castet (Images : Michel Aubineau et Geo Reignier - Montage : Service communication diocèse de Luçon)



homélie de Mgr Castet par infocatho85



Fin de la célébration (Images : Michel Aubineau et Geo Reignier - Montage : Service communication diocèse de Luçon)



Célébration du 8 décembre par infocatho85

lundi 5 décembre 2011

Zavez vu l'affiche ?

Hier j'ai passé un bon moment à râler après ceux qui veulent que l'info qu'ils cherchent là, maintenant, leur tombe tout cuit dans le bec, sans chercher une seconde, tout de suite, juste ce que je veux, que ça crève l'écran, que ça flashe, et caetera !

J'en avais marre de ces gens qui téléphonent pour avoir les heures des messes de Noël, alors qu'elles sont placardées partout ;
qui veulent ma petite activité sur le site alors que ça fait 2 mois qu'elle y est...

Ca commençait vraiment à me chauffer sérieusement et en plus il faisait un temps à mettre le moral dans les chaussettes, alors j'avoue que je me suis un peu défoulée sur Fb (heureusement il y avait quelques amis qui m'ont aidée à me calmer).

Mais ce matin on repart pour une semaine, à neuf, tout ça n'est qu'un mauvais souvenir, avec plein de bonnes résolutions. Hé ben non, ça continue, dans la série je vois c'que j'veux. Mais là on va le prendre avec humour, parce que raconté comme ça par un Vendéen ça sonne autrement*. Il y avait donc samedi soir un concert, et les organisateurs étaient un peu déçus parce que ça avait un peu moins bien répondu que les années précédentes (comme on dit). Explication dimanche matin à la boulangerie du coin, entre 2 compères :

- I v’zez pas vus hier o sér au quincert. Tot q’vous faisiez ?
- Te rêves, le quincert é d’srail à 16 ures.
- Té pas ébobé, été hier ou sér, yétais d’service . Olé mouaï qué to fé… !

Et voilà, CQFD. Les autres années le concert était le dimanche à 16 h, et le pappy il est resté là-dessus. Malgré une belle affiche (à l'aise pour le dire, c'est pas moi qui l'ai faite, celle-là).

Bon, question débile, mais réponse utile : comment on fait pour faire passer l'info ? Heu... enfin, surtout pour qu'elle soit reçue... Si vous avez des bons tuyaux pas percés ça peut m'intéresser... Merci !

PS - Si ve'vlez enrichir vot' vocabulaire, vous pouvez faire un tour par ici...
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* Petit rappel : je ne suis pas vendéenne. Et merci Christian pour l'histoire (vraie !).