C'était hier. Marie-France et Jean-Denis fêtaient 50 ans de mariage et de vie commune. Ils ont voulu marquer cet anniversaire avec leur famille et leurs amis. Un temps d'action de grâces et une très belle fête.
Tout a été minutieusement préparé. Ils s'y sont pris longtemps à l'avance, prenant ainsi le temps de penser à tout, d'aménager, enrichir... jusque dans les détails : chants et textes de la messe, feuillets, intervenants, témoignages, invitations, décoration et fleurissement, verre de l'amitié, menu et animation.... (C'est toujours dangereux de commencer à énumérer, on est sûr d'oublier quelque chose, quelqu'un).
Pour eux, chrétiens engagés, cet anniversaire était à la fois action de grâces pour tant d'années vécues ensemble, et nouvel
engagement pour les années qu'il leur reste à vivre, sachant que ce ne seront pas les plus
faciles, où il faudra affronter le vieillissement, la maladie, la mort, la solitude... Et cela devait se célébrer dans une eucharistie.
dimanche 28 août 2011
vendredi 26 août 2011
"Semer la joie"
Elles étaient une soixantaine hier soir à nous faire partager leur bonheur de chanter. Des jeunes de 8 à 20 ans passionnées de chant qui y consacrent beaucoup de temps et une semaine de leurs vacances.
La Maîtrise de Bordeaux se définit comme un lieu d'éducation musicale, humaine et spirituelle. Répétitions hebdomadaires, stages, concerts et tournées pendant l'été. Cette année la tournée se déroule dans le Sud-Vendée. Hébergées à Chaillé-les-Marais, elles donnent deux concerts à Fontenay et à Luçon.
Travail et répétition le matin, visite-découverte de la région, détente l'après-midi. Aujourd'hui ce sera la sortie au Puy du Fou avec le spectacle de la Cinéscénie le soir.
Une heure de chorale, souvent a capella, souvent sans texte et sans partition, d'un répertoire éclectique de musique classique, sacrée, profane et folklorique. Toutes ensemble ou en formation selon l'âge. De toutes jeunes voix travaillées aux vocalises, claires et légères. Un air de fraîcheur et de bonheur qui a séduit les nombreux auditeurs venus les écouter.
Pourquoi j'ai mis ce titre à ce billet : "Semer la joie" ?
Tout simplement parce que c'est la devise de la Maîtrise de Bordeaux. Par le chant, semer la joie lors de ses concerts et des rencontres qu'ils suscitent. Semer la joie, tout un programme !
Avec les Jeunes de la Fédération du Nord-Pas-de-Calais c'est le 2ème groupe de jeunes musiciens et chanteurs que nous accueillons à Fontenay cet été, à l'initiative de l'Association des Amis du Patrimoine de la paroisse. A travers une passion commune un lieu d'éducation, de formation humaine et spirituelle, d'apprentissage de la vie ensemble.
samedi 20 août 2011
Grand âge
Dernièrement j'ai passé quelques jours avec une dame âgée et
fatiguée. Chez elle, elle était déjà fatiguée, mais la perspective d'une
escapade de quelques jours ne lui déplaisait pas du tout. Un petit changement
d'air. Même si elle savait (et moi aussi) qu'elle ne sortirait pas beaucoup.
Mais sur place la situation s'est aggravée.
Hospitalisation... Examens de toutes sortes... Inquiétude.. et enfin retour à
la maison, sans changement notoire.
samedi 13 août 2011
Y a du wifi ici ?
Ça c'est la question inévitable. On l'entend partout : réception des hôtels, cafés et bars, offices de tourisme etc. Le wifi fait désormais partie du confort basique que doivent offrir les lieux publics sous peine de perdre des clients.
A Cham' les connaisseurs ne posent même plus la question. Il y a du wifi quasiment partout, ça se sait, et sur la place de l'office de tourisme (joliment dénommée d'ailleurs Triangle de l'amitié) c'est wifi garanti, soi disant limité à 30 mn (je ne m'en suis pas aperçue...), 24 h/24 et 7 jours/7.
Le régal des accros quoi.
A Cham' les connaisseurs ne posent même plus la question. Il y a du wifi quasiment partout, ça se sait, et sur la place de l'office de tourisme (joliment dénommée d'ailleurs Triangle de l'amitié) c'est wifi garanti, soi disant limité à 30 mn (je ne m'en suis pas aperçue...), 24 h/24 et 7 jours/7.
Le régal des accros quoi.
jeudi 11 août 2011
Je me suis convertie... au VTT
Oui, c'est tout ce que j'ai trouvé... vous auriez peut-être
préféré autre chose comme conversion. J'ai troqué mes brodequins contre un joli
VTT.
Et, s'il vous plaît, on ne rit pas
Donc aujourd'hui, grande sortie VTT, après un essai hier.
Direction le col des Montets avec le vélobus. Déjà là,
première difficulté. J'avais l'air fin dans le fond de ce bus à me demander
comment accrocher mon vélo. Heureusement il n'y avait pas trop de monde (pour
se moquer de moi), mais d'autre part un ou deux autres vététistes m'auraient
permis de voir comment ça s'installait ce fichu matériel !
mardi 9 août 2011
Un air de folklore
Dimanche entre deux saucées je suis allée faire un tour au
marché artisanal des Houches. Petit village de la vallée de Chamonix il
s'ingénie à proposer des animations pour les vacanciers à l'instar de ses
grandes voisines, même s'il n'a pas leur notoriété. Pour la circonstance la rue
principale était fermée à la circulation sur quelques dizaines de mètres et
avaient pris place des étals de cristaux, menuiserie et travail du bois, émaux,
bijoux, souvenirs divers et loufoques originaux, foulards, casquettes, tee-shirts
et autres gadgets estampillés Les Houches bien sûr.
mercredi 3 août 2011
David
Il avait 11 ans, plein de vie, espiègle, téméraire, curieux, un peu désobéissant... un gamin de 11 ans quoi.
Il était un parc et un immeuble désaffectés, quelque peu laissés à l'abandon et de ce fait devenus sournoisement dangereux. Surtout la maison. Ça ne se voyait pas trop comme ça, vu d'un peu loin ou d'un œil innocent. Pourtant les murs se fissuraient, la charpente semblait plus fragile et les planchers pourrissaient.
Mais on le sait bien, les enfants ne voient pas le danger, surtout quand il est sournois. L'étrangeté du lieu était suffisante pour attirer des enfants intrépides, avides d'aventure, même s'ils savaient que c'était défendu. Surtout qu'on pouvait pénétrer dans la propriété par une belle brèche dans le mur. Juste une petite escalade et on est dans le parc.
Il était un parc et un immeuble désaffectés, quelque peu laissés à l'abandon et de ce fait devenus sournoisement dangereux. Surtout la maison. Ça ne se voyait pas trop comme ça, vu d'un peu loin ou d'un œil innocent. Pourtant les murs se fissuraient, la charpente semblait plus fragile et les planchers pourrissaient.
Mais on le sait bien, les enfants ne voient pas le danger, surtout quand il est sournois. L'étrangeté du lieu était suffisante pour attirer des enfants intrépides, avides d'aventure, même s'ils savaient que c'était défendu. Surtout qu'on pouvait pénétrer dans la propriété par une belle brèche dans le mur. Juste une petite escalade et on est dans le parc.
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