Bon, on s'explique.
Ce n'est pas après nous qu'elle est furieuse, mais après tous ces soi-disant bons lecteurs de cette bonne revue diocésaine. Après la publication du fameux numéro elle a rencontré plein de gens qui lui ont dit : "Pourquoi sur la photo vous avez tous un livre et un journal ?" Grrr ! Elle a vu rouge. C'est bien la peine qu'on se fende d'un billet (même court) pour vous expliquer si vous ne le lisez pas ! Lisez ! vous aurez la réponse à votre question ! Mais lisez jusqu'au bout, la réponse, elle est dans les deux dernières phrases.
Et les langues se sont déliées. Elle n'est pas seule à avoir eu ce genre de réflexion. Plusieurs d'entre nous ont eu la même question. Et à la fin du week-end, notre éminent intervenant, dont je tairai le nom par respect pour lui, est aussi tombé dans le panneau : "Pourquoi vous avez tous un livre ouvert ?".
Au-delà de l'anecdote, et de la frustration (bien compréhensible) de Marie-So on a là une belle illustration de notre rapport à la presse écrite. Comme les gamins, on regarde les photos, les gros titres et ça suffit. D'ailleurs quand on rédige un article, même modeste, pour rapporter un événement IL FAUT une photo. Pas de photo, pas d'article. Parfois même une photo légendée suffit. Ca ils l'ont bien compris les journalistes... ils abondent dans ce sens et nous entraînent sur cette pente du facile, du visuel, du choc. Ou bien c'est
Amis lecteurs, vous pourriez faire le test... sauf que les dés sont un peu pipés, parce que si vous avez lu ce billet (quel courage !) vous allez vous méfier et lire le billet de Marie-So en entier, à moins que, ayant tellement bien lu MON billet vous vous contentiez des deux dernières phrases de Marie-So !
2 commentaires:
très bon ZD
....et on a de + en + à lire (voir les blogs que tu m'as fait découvrir!!!!!) alors bien sûr on survole quelque fois!!!! là, j'ai TOUT lu!
Marie France
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